dimanche 26 mars 2017

The warriors gate

Le côté "jeu vidéo vs réalité" et film d'ado avait titillé ma curiosité,
et j'avais besoin d'oublier un peu mes misères existentielles (ds la mesure du possible),
je me suis donc réfugié au grand Rex, en ce dimanche aprèm ensoleillé...
Et puis, Lec Besson a scénarisé ce truc, alors ça pouvait donner quelque chose de punchy et rigolo.
Verdict ? L'histoire marche bien, tout fonctionne très bien, parfaitement logique, mais d'un plat...On s'emmerde, c'est mou du genou et ultra convenu...Impersonnel au possible. Il manque clairement un grain de folie à ce truc prévisible...On est très loin du kiff de "SEULS"...
En fait, on dirait le genre de télefilms Gulli formaté pour les gosses, et au scénar ultra basique et limité...
Parfait pour les p'tits n'enfants, mais mou et plat pour des gens comme moi.

Quelques p'tits trucs ont attiré mon attention cela dit :
- C'est Draxx qui joue le rôle du gros méchant, avec une bonne grosse voix de méchant, plutôt classe.
- Le running gag avec Brutus, pas mal du tout et assez osé pour un film pour enfant...(tranchant en tout cas..)
- La danse finale de la princesse, en mode Dancehall, est vraiment très sympa à voir. Elle a l'air de s'éclater !
- "Je suis trop jeune pour mourir, j'ai la vie devant moi, j'ai ...jamais embrassé une fille !"
-  Le côté jeu vidéo et univers virtuel / parallèle est malheureusement quasi inexistant...
- La revanche contre le "méchant" de la vie réelle rappelle un peu Neverending story...Sympa.
- Le ptit côté "télefilm gulli dans une maison de banlieue" a son p'tit charme cela dit...

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