mardi 6 juin 2017

WonderWoman


J'attendais ce film assez impatiemment, petite avant première avec Adrienne, une adrienne étonnement absente et préoccupée, réfugiée dans son portable et très peu causante...Je n'ai bien sur pas trop voulu la déranger, elle a ses humeurs je peux comprendre, même si ce n'est pas une raison pour me snober.
Mais la bouteille d'eau réglementaire m'a fait marrer.

Enfin bref, ça marche plutôt bien ce film, malgré un démarrage un peu mou du genou, une Wonderwoman qui se fait désirer, d'abord retenue dans une image de naïve qui découvre la vraie réalité...
Puis les scènes d'actions débarquent et envoient du lourd, c'est impactant, ils en font des tonnes, mise en scène clipesque et appuyée, et ça fait plaisir de voir de beaux combats 3D bien soignés et bien chorégraphiés. Au dela de ça, même si l'histoire est très classique, on a une gallerie de persos plutôt sympathiques.
Note : 7,4/10

Les résonnances :
- Ce mélange troublant de grande naïveté et de superguerrière, ça m'inspire et me parle pas mal...
- ...Et la douleur de la naïveté qui a été trompée et abusée...Avant de se ressaisir qd elle a compris la vérité.
- "Ok j'avoue je suis un espion ! Je mens, c'est mon job !"
- Le méchant de la fin, qui apparaît de façon très très classe et posée...En ne révelant que progressivement ses infinies capacités.
- Saïd (de la Haine) fait vraiment penser à un Jamel Debouzze embrigadé...:/
- Les comportements du début, troublants car on sait pas bien où ils vont aller.
- Les pouvoirs de Wonder, que l'on nous présente très vaguement, et qui se précisent en plein combat, jusqu'à montrer toute leur puissance.
- L'achèvement final, avec sa voix posée.
- Cette Gal Gaddot est vraiment extrêmement sexy et rayonnante...Un petit côté Scarlett Johannson.
- Ce style DC qui prend le temps d'offrir des séquences clefs bien appuyées et bien surjouées. Plutôt jouissif, dans le genre bien assumé.

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